dissabte, 24 d’abril del 2010

Découverte: La maladie de la mort

Vous devriez ne pas la connaître, l'avoir trouvée partout à la fois, dans un hôtel, dans une rue, dans un train, dans un bar, dans un livre, dans un film, en vous-même, en vous, en toi, au hasard de ton sexe dressé dans la nuit qui appelle où se mettre, où se débarrasser des pleurs qui le remplissent.
Vous pourriez l'avoir payée.
Vous auriez dit: Il faudrait venir chaque nuit pendan plusieurs jours.
Elle vous aurait regardé longtemps, et puis elle vous aurait dit que dans ce cas c'était cher.
Et puis elle demande: Vous voulez quoi?
Vous dites que vous voulez essayer, tenter la chose, tenter connaître ça, vous habituer à ça, à ce corps, à ces seins, à ce parfum, à la beauté, à ce danger de mise au monde d'enfants que représente ce corps, à cette forme imberbe sans accidents musculaires ni forme, à ce visage, à cette peau nue, à cette coïncidence entre cette peau et la vie qu'elle recouvre.
Vous lui dites que vous voulez essayer, essayer plusieurs jours peut-être.
Peut-être plusieurs semaines.
Peut-être même pendant toute votre vie.
Elle demande: Essayer quoi?
Vous dites: D'aimer.
Marguerite Duras


divendres, 16 d’abril del 2010

K'fe d'aujourd'hui [11, Place D'Aligre]

La història que és silenci és potser la millor història per explicar:
l'espero al sol i la camino, me la bec a glops de cafè.

dimecres, 14 d’abril del 2010

Gertrude Stein

[...] Los escritores tienen que tener dos países, el país del que son y el país en el que realmente viven. El segundo es romántico, es algo aparte, no es real pero está realmente ahí.
París Francia